La crise agricole est toujours présente.
Les éleveurs de notre département sont confrontés à la MHE, FCO, aux difficultés de trésorerie, aux aléas climatiques, à une valorisation moindre des filières de qualité, la question du revenu et des retraites toujours non réglés, le MERCOSUR , la prédation …
La prédation, ces dernières semaines nous avons connu une recrudescence des attaques, qui sont un stress permanent pour les familles d éleveurs, une perte économique lorsque l’on travaille la génétique, des complications administratives et qui impose de faire des choix dans la conduite de l’exploitation parfois non protégeables.
Proche du monde agricole j’ai entrepris une série de visite d’exploitations débutées cette fin de semaine ( que je vais poursuivre) à la rencontre de celles et ceux qui vivent ces difficultés au quotidien pour écouter, échanger, appréhender l’impact des mesures récentes prises par le Gouvernement et être le relai de celles et ceux qui nous nourrissent à Paris.
Je remercie très sincèrement les familles qui m’ont accueillie.
La procedure en cours pour revoir le niveau de protection du loup au niveau de la convention de Berne doit aboutir si nous voulons conserver nos exploitations.




Je souhaite que le gouvernement reprenne mon amendement en faveur des louvetiers pour soutenir nos éleveurs.
Je reste mobilisée sur ce sujet au côté notamment de la Présidente de Région Carole Delga.